En volant avec Etihad, la compagnie lui offre un séjour de 2 nuits à Abu Dhabi ; il avait même le choix entre plusieurs hôtels et des dates pour son séjour. Il a choisi de s’y arrêter à l’aller et a pris l’hôtel proche de l’aéroport vu qu’il arrivait à minuit.
Le lendemain, il se promène dans les alentours. En bon marin, il visite les ports ! Ensuite, il va voir la piste de Formule 1 qui se trouve près de l’un des ports.
Il croise quelques travailleurs avec lesquels il a des discussions intéressantes. Les travailleurs sont généralement des étrangers de tous pays, tandis que les locaux dominent souvent la propriété des grandes entreprises.
Une femme de Syrie, cheffe d’une succursale de magasin de montres, lui dit que ça fait 10 ans qu’elle est là, elle vit très bien et a une vie agréable ; elle peut s’habiller comme elle veut et même se promener dans les rues au milieu de la nuit sans être en danger. Elle explique que, pour un Syrien qui veut travailler, la porte est ouverte aux Émirats, où la culture est plus proche.
Non loin de là, il y a une « Workers City », la ville des travailleurs. Tous ceux croisés disent vivre très bien aux Émirats Arabes Unis : le climat y est paisible, les rues sont sûres et ils gagnent bien leur vie.

