Lightening Ridge


La traduction du nom de cette ville c’est « crête d’éclairs », nous voilà avertis. La ville se trouve au bord d’une crête où les éclairs peuvent parfois être violents.

C’est une petite ville qui ressemble à beaucoup d’autres, mais à peine passé les dernières maisons c’est les mines !


Il y a quelques vieilles maisons dans la ville, certaines arrangées comme un musée mais ce n’est pas ouvert.

On y croise plein d’oiseaux

 

Bowling Club


Les clubs et les pubs, c’est là qu’on croise les locaux !

Stéphane et moi devenons membres pour 1 an du Bowling club pour une modique somme afin d’avoir accès à leur restaurant. Le club est énorme, restaurant, bar et 2 coins de jeux d’argent, l’un pour les fumeurs l’autre pour les non-fumeurs. Ils ont 93 machines à sous !

Ils ont un service de bus qui va chercher et qui ramène les clients toutes les heures. Pour une petite ville perdue au milieu de rien, tout ceci est étonnant.

Les restaurants des clubs ont la réputation de servir de la bonne nourriture à prix raisonnable et des portions généreuses. C’est effectivement le cas.

A peine assis après avoir passé commande voici que 2 couples de suisses allémaniques viennent s’asseoir à la table d’à côté. Evidemment, nous avons passé du temps à papoter ensemble.

Nous admirons les peintures aux murs et devenons rapidement fanes du peintre John Murray.

 

John Murray


Cet artiste a quitté Sydney il y a des années avec son petit bus WW aménagé en camper et quand il est arrivé à Lightening Ridge, il y est resté.

Son camper a été transformé en œuvre d’art, mi-bus mi-avion, et est exhibé devant notre camping.

Nous visitons sa galerie d’art. Quel dommage que nous n’avions pas le droit d’y faire des photos car on a adoré. On trouve beaucoup de ses images sur internet et nous en avons acheté quelques copies.

Nous découvrirons plusieurs de ses œuvres sur des réservoirs d’eau et murs divers le long de notre route.

Voici le lien de son site internet.

 
Chaque année il fait un nouveau tableau pour le Bowling Club.

Suite : Grawin et ses mines d’opales