Galápagos, nous voilà !

Enfin nous pouvions aller à terre et profiter des dernières heures pour fêter les 50 ans de Stéphane.

Des bateaux taxis se promènent dans la baie, on a été informés que l’usage des annexes n’est autorisé qu’entre bateaux où pour aller à terre si on pensait rentrer après les heures des taxis-boats. En laissant notre annexe à l’eau, on risquait de le retrouver occupé par des otaries. On se rend à terre en taxi.

La dame de l’agence nous fait faire un petit tour des lieux puis nous trouvons un petit restaurant local qui propose des menus à 4USD, soupe – plat principal – jus de fruit. A ce prix, il fut décidé à l’unanimité que le remplacement de nos provisions sur ces îles aux petits supermarchés chers (+ le taxi pour ramener le tout au port) serait plus coûteux que d’aller manger des menus locaux. Nous allons abandonner nos casseroles pour quelques temps !

Nous admirons les otaries qui en plus de la plage, squattent les bancs publics escaliers pontons et les sols. On doit faire attention où on marche, ils sont partout à proximité de la mer.


Vers 20h30, on appelle les taxi-boats, pas de réponse. La dame de l’agence nous avait dit qu’ils finissaient à minuit, mais en réalité, chaque soir est différent selon qui est de service. On attend assez longtemps avec la femme et les enfants d’ALKYONE qu’on a retrouvé sur le ponton. Pour finir, c’est le mari qui est venu nous chercher en faisant plusieurs voyages.

Nous avons mangé la tourte aux carottes et bu une coupe de champagne sur Olena en présence de SERENITY et de Hans d’ALKYONE.