Après 2 nuits à Telaga nous faisons un petit changement de marina. Après quelques heures d’attente à l’encrage de Telaga, nous naviguons les 5 miles qui nous séparent de l’île privée de Rebak.
A peine arrivés j’amène mes parents visiter l’hôtel, le bar sur la plage et la piscine. Un vrai petit paradis, mes parents sont enchantés. D’ailleurs on ne les voit presque plus, après le petit déjeuner ils partent du côté de l’hôtel et nous les revoyons rarement avant le soir. Ils profitent et ils ont bien raison !
Stéphane profite du calme de la marina pour changer le pot d’échappement du chauffage qui sort juste au-dessus du niveau d’eau. Alors qu’il fait ses travaux il se rend compte que collecteur d’eau d’échappement, une pièce en plastique, est fendue au niveau de la soudure. Puis voilà qu’il découvre des taches de coulées vers le moteur, c’est l’échangeur qui n’est plus étanche. Du coup la liste des travaux urgents à faire se rallonge et nous restons plus longtemps que prévu à Rebak.
Notre séjour prolongé ne dérange pas mes parents. Mon papa profite parfois du lounge de l’hôtel où l’on a la wifi et la climatisation. D’ailleurs c’est là que nos enfants passent leurs journées, ils y emmènent leur école, leur livres et tablettes. Ma maman profite de la plage et de la piscine, admire les bateaux qui passent et les oiseaux. En plus des nombreux calao (ces grands oiseaux noirs et blanc avec un bec surmonté d’une bosse en forme de banane jaune) qu’on trouve un peu partout sur l’île, elle a même vu des oiseaux du paradis depuis la chaise longue de la plage !
L’hôtel a quelques attractions dont une promenade avec un guide. Mon papa et moi nous joignons à l’une de ces promenades. Le guide est un passionné qui nous conte plein d’anecdotes. Il nous montre plein de choses et nous voyons des oiseaux du paradis.
Un matin mon papa et moi partons en balade pour visiter la plage au nord-ouest de l’île. C’est marée basse nous pouvons visiter les 2 plages et voir les mini grottes. L’un des rochers est très rouge, d’où le nom de plage au rocher rouge.
Ici aussi, le plastique s’échoue.
Quant à moi, entre d’autres travaux, j’essaye de rattraper un peu mon retard dans mon blog.


